Je me suis noyée dans tes yeux..."Je me suis noyée dans tes yeux...". Phrase connue, dite et redite, encore toujours, pour qu'un poème sonne bien,pour qu'il soit plus chantant.... Mais, je me suis noyée dans tes yeux... noyée, jusqu'au bout, jusqu'à y perdre pied, jusqu'à ne plus revenir à la surface.... Je m'y suis jetée un soir de septembre, sans y prendre garde,sans reflechir, juste jetée,pour voir ce qui allait m'y attendre.... J'y ai vu mon reflet, comme un miroir, le reflet d'une femme que
Il me fuitIl détourne son regard, évite nos tête-à-tête, Il invite à faire la fête, ses amis jusqu'à très tard. Il ne remarque même pas ma nouvelle coupe de cheveux, Ou cette robe décolletée, ou ce noir sur mes yeux... Il ne fait pas attention aux bougies, à la musique, Aux assiettes du dimanche, à la belle argenterie. Il mange dans le silence ce plat fait avec amour, s'essuie la bouche et sort de table, et moi, j'ai le cœur lourd. Il se pose sur le canapé, allume la télévision, discrètement je
bon, c'est un genre poétique que j'aime travailler parce que c'est vachement dur... c'est un panthum ou pantoum (on dit les deux)... on il est pas parfait, mais il sort de ma p'tite tete, alors... voilà!!PantoumQuand de ta main tu effleures la mienne Je sens monter le désir en moi Ton regard et ta peau douce me retiennent Tout mon corps est alors en émoi.Je sens monter le désir en moi, Des frissons de plaisir parcours mon dos, Tout mon corps est alors en émoi Quand j'attise le feu de l'âtre chau
Il ne reviendra pas…Sur la dune où le vent dessine une crête,Egrainant le sable de cette étendue déserte,Je te vois regardant vainement l’horizon.Pourtant, tu sais dans ton cœur si profond,Tu sais, aussi fort que tu répètes son nom,Il ne reviendra pas…Tu rêves de son retour depuis maintenant des mois,Souvent, lors de tes songes, tu crois entendre sa voix,Mais ce n’est que mirage dans ce désert si grand,Ce n’est pas son visage que découvre le vent.Comment à commencée cette folle expédition ?Ah ou
Le bruit de tes pas.Le bruit de tes pas sonne le glas de mon cœur.Tremblante tel un arbre que le vent caresse,Ta voix, ton regard, ton sourire disparaissent,Laissant place au vide où ma joie se meurt.Près d’une rivière, lentement je m’assoies,Les doux reflets du ciel m’éblouissent parfois.Je crois voir ton visage dans ces étincelles,Sur mes funestes joues, de grands torrents ruissellent.Le bruit de tes pas sonne la fin du roman.Mes cheveux me giflent et mes yeux me dévorent,Le livre se referme,
Il faut savoir se mettre à la page!!! Donc me voici ici!!J'y mettrai des textes (des vieux et des tous neufs!) des essais (enfin, des écorchage de musique) en espèrant ne pas créer de désastre climatiques!!!à tout vite!